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BANGLADESH
Paroisse de Chandpukur

Le Bangladesh est un petit pays enclavé dans l’Inde : il fait un quart de la superficie de la France et compte 160 millions d’habitants. Il s’étend sur la plus grande partie du delta du Gange et du Brahmapoutre. Si vous regardez une carte du Bangladesh, au nord du Golfe du Bengale, vous avez l’impression qu’il est tout entier parsemé des bras de ses deux fleuves parmi les plus grands du monde. Ramené au nombre d’habitants, le Bangladesh laisse l’image d’une population nombreuse avec sans cesse les pieds dans l’eau. L’eau vient aussi du ciel  : la mousson, dans l’ensemble des pays tropicaux, apporte 80% des précipitations de l’année en trois mois, de juillet à septembre.

Les tribus aborigènes très minoritaires au Bangladesh comptent une quarantaine d’origines différentes, et qui se répartissent en une multitude de villages dans tout le pays. Sédentaires pour la plupart, elles vivent d’agriculture et d’élevage dans des villages à deux ou trois cents personnes. Leur religion traditionnelle n’est ni l’islam, ni l’hindouisme comme 99% de la population. Leur origine les marginalise ainsi doublement par rapport au reste de la population.

 

D’origine non chrétienne, les tribaux ont découvert le Christ grâce aux premiers missionnaires européens, particulièrement italiens. Aujourd’hui, un certain nombre de prêtres sont originaires de ces tribus. C’est une œuvre d’évangélisation assez remarquable. Les missions, centre à la fois cultuel, éducatif et de soin, accueillent largement les villageois des alentours. Ces paroisses peuvent desservir jusqu’à cent villages dont tous, loin s’en faut, ne sont pas chrétiens. L’évangélisation est avant tout une œuvre de charité. C’est par le bien que font les missionnaires que des cœurs se convertissent au Christ. Tout est donné d’avance et la joie de rencontrer le Dieu bon qui nous sauve, amène certains villageois à demander le baptême. L’évangélisation est aussi une œuvre de patience : le mode de vie, familial et solidaire, impose d’attendre que tout village demande le baptême pour que chacun puisse le recevoir.

 

Parrainez un jeune

Aider un jeune séminariste au Bangladesh.

Le père Thierry LAURENT vous propose de l’aider pour parrainer de jeunes garçons désireux de se consacrer au service de Dieu, de l’Église et des hommes.
Nous faisons appel à tous ceux qui, sensibles à la cause des vocations, accepteraient de participer financièrement à la formation des futurs prêtres aux Bangladesh.

Cette participation peut prendre la forme d’un parrainage. Parrainer un séminariste, c’est prendre en charge plus spécifiquement les frais de sa formation au petit séminaire. Le coût annuel pour un jeune séminariste est de 100 €  (34 € après réduction d’impôts).

Aider à la formation professionnelle d’un jeune au Bangladesh.
Vous pouvez également aider à la formation professionnelle de jeunes sous la forme d’un parrainage. Cette formation a un coût annuel de 360€ (122 € après réduction d’impôts) soit 30 € par mois.

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